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Visites d'expositions 

Table des matières

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Parcours artistique grenoblo-tronchois automnal et bigarré ; 2017.

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Ecrire sur Kandinsky ; 2016-17.

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Christina Iglesias, sinistre déploiement, peu disert ; 2016.

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Vincent Gontier et les mots ; 2015-16.

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L'exposition O'Keeeffe et le syndrome d'Eugénie Grandet ; 2014-15.

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Penone, ou le meilleur moyen de revenir à Paul Klee ; 2014-15.

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11-2017

Parcours artistique grenoblo-tronchois, automnal et bigarré

 

1 - De Grenoble ouest, tram jusqu’à Grand-Sablon puis marche jusqu’au Musée Hébert.

La petite promenade fait traverser un agréable quartier tout de verdure jaunissante, mais qui n’est pas vraiment un modèle de mixité sociale réussie.

 

2 - Musée Hébert, la Tronche.

Le peintre Jacques Truphémus nous a quittés en septembre dernier et l’exposition qui lui est consacrée au musée Hébert fermera bientôt ses portes. Les tableaux, dès lors soustraits à nos regards, garderont leur silence et leur mystère au sein d’une œuvre figée à jamais et que les spéculations les plus autorisées échoueront sans doute à percer plus avant.

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Musée de grenoble, 10-2016 / 01-2017

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Ecrire sur Kandinsky

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Alors que j’étais encore ado boutonneux, les peintures de Kandinsky, découvertes en photo dans des livres, m’ont bel et bien fasciné, surtout celles des années 1900-1910 ; j’ai même essayé de copier Vieille ville II (Alte Stadt) et Ville Arabe (Arabische Stadt) vers mes seize ans. Si ces copies ne m’ont guère posé de problèmes (hyper fastoche, tu parles…), la lecture de Du spirituel dans l’art, entreprise deux ans plus tard, en 68, a été...

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Musée de Grenoble, avril / juillet 2016

 

Cristina Iglesias :

sinistre déploiement, peu disert

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Le carton d’invitation à l’exposition de Cristina Iglesias m'a fait penser immédiatement à ces filets de camouflage, utilisés pour les pièces d'artillerie, sur les terrains d'opérations militaires. Ce type de rapprochement pouvant imprimer un jugement a priori et définitif sur la totalité d'une œuvre chez un esprit grossier, je me suis rendu au musée en me méfiant de moi-même. Vint donc le temps de la découverte, celle d'un univers...

 

Musée Hébert de la Tronche, 12-2015 / 04-2016

 

Vincent Gontier et les mots

 

Compresser des journaux est affaire de serrage, donc de Nm (newtons/mètre), ce qui implique de les empaler sur une tige filetée dont l’impudence est heureusement soustraite à nos regards. Mais  la  démarche  est  bien  plus  assassine  que  ne  le  laisse  supposer  l’élégance  de  ce  qui  en ressort. Car compresser des journaux c’est aussi anéantir des mots...
 

Musée de Grenoble, 2014 / 2015

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L'exposition O'Keeffe et le syndrome 

d'Eugénie Grandet

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Dans la précédente exposition du musée, titrée « De Picasso à Warhol », l’auteur(e) des cartels, emporté par son enthousiasme, n’hésitait pas à distribuer des appréciations ouvertement élogieuses à certaines œuvres, comme, par exemple, à l’ensemble d’une trentaine de tableaux de...

Musée de Grenoble, 2014 / 2015
 

Penone, ou le meilleur moyen

de revenir à Paul Klee.

 

 

J’ai vu Penone au moins trois fois en une douzaine de jours ; je devais m’assurer que rien ne m’avait échappé, que j’avais bien tout cerné, et que mon manque d’enthousiasme n’était pas le résultat d’une appréhension trop hâtive pour être honnête. De fait, l’exposition, même si elle impressionne...

 

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